Jean Isnard
1
2
3
5
6
7
8

Jean Isnard se voit en « passeur » entre le monde de l’art et la technologie contemporaine. C’est son crédo, sa manière de s’inscrire dans le monde. 
D’abord occuper l’espace et se taire… Puis mettre en mouvement, associer, et captiver.
Par l’évocation de peaux, de mues, de paysages, il s’agit de retrouver un lien avec l’homme et la nature, à travers l’outil informatique et industriel.
C’est aussi une rencontre, c’est une œuvre en mouvement attisant le désir et la sensualité. Ce sont des lignes que Jean distille… Ses monts de Vénus et autres mamelons s’appellent alors des paysages.
Dans les œuvres de Jean Isnard, il y a la puissance de la vie. Prétendre que c’est positif est certainement simpliste, disons qu’elles sont sûres d’exister. Sans avoir besoin d’imposer sa présence, Jean Isnard leur donne la vie avec la générosité d’un Gepetto. La bonne fée qu’est son talent achève de leur donner des ailes. On pourrait dire à la manière d’André Gide évoquant Maillol : « Les œuvres de Jean Isnard sont là, c’est tout, et c’est déjà beaucoup ». 
Stéphanie Bernardin

 

PAS D'HISTOIRE

Editions ABICA, création graphique Gilles Jaroslaw

 

ARTS NUMERIQUES

fdfMCD et M21 éditions
les 100 artistes français de la scènes numérique


LES MAINS DANS L'OMBRE

livre areaUn livre d'Alin Avila éditions AREA


CD ENESCU

CD EMI édité par Virgin-Classics, ENESCU / direction Lawrence Foster